Nikon profite de l’annonce de son vaisseau-amiral Z9 pour étoffer sa gamme d’objectifs Z dédiée à ses hybrides.
Le Nikkor Z 100-400 mm f/4,5-5,6 VR S vient combler un vide dans la gamme des très longues focales, en attendant le futur Z 200-600 mm déjà prévu sur la feuille de route des optiques Z. Il bénéficie d’une construction tropicalisée. Outre la bague de mise au point et celle des focales, le fût de ce télézoom intègre également un verrou de blocage et des touches L-Fn et Disp dédiées à la personnalisation de l’optique. Spécificités techniques :
– monture : Nikon Z
– couverture : FX (24 x 36)
– distance minimale de mise au point : 0,75 m à 100 mm et 0,98 m à 400 mm
– diaphragme : 9 lamelles (circulaire)
– filtre : 77 mm
– prix : 2 999 euros.
Plus classique, le zoom transtandard Nikkor Z 24-120 mm f/4 S est très polyvalent. Comme tous les objectifs estampillés « S », il hérite d’une construction tropicalisée et reçoit un traitement au fluor de la lentille frontale (en plus des technologies Arneo et nanocrystal) et une touche paramétrable L-Fn. Autres données techniques :
– monture : Nikon Z
– couverture : FX (24 x 36)
– distance minimale de mise au point : 0,39 m
– diaphragme : 9 lamelles (circulaire)
– filtre : 77 mm.
– prix : 1 249 euros.
En parallèle, Nikon lance également une bague FTZ II, dont les fonctionnalités sont identiques à celles du premier modèle. La nouvelle venue est simplement dépourvue de pas de vis et plus compacte que son aînée. Prix : 289 euros. En outre, Nikon précise qu’un futur supertéléobjectif Nikkor Z 400 mm f/2,8 TC VR S (avec téléconvertisseur x1,4 intégré) dont les performances et le prix devraient atteindre des sommets, est en cours de développement.
Pascal Druel
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière, amoureux d’images et photographe au quotidien, j’explore depuis plus de 30 ans la photographie sous diverses formes (prise de vue, développement et tirage argentique, contrôle qualité, repique, traitement et retouche numérique, graphiste, prise de vue, formateur, photographe indépendant). En outre, je collabore occasionnellement avec Chasseur d’Images (magazine pour lequel j’ai été rédacteur pendant une douzaine d’années), signe des ouvrages (publiés aux Editions Eyrolles), réalise de multiples prestations photographiques (books, reportages, mariages) et couvre en images de nombreux festivals et concerts (150 à 200 scènes par an).