Du fait de la crise sanitaire actuelle, le Hellfest est reporté en 2022. Il sera donc décliné cette année du 17 au 20 juin en version totalement virtuelle, avec une série de concerts et d’activités inédites. Revue de détails…
Cette année encore, le Hellfest sera totalement numérique. Pour l’occasion, toute l’équipe du Hellfest Production vous propose des concerts inédits enregistrés dans divers endroits emblématiques du site du festival, complétés d’une quinzaine de cessions « live » extraites des archives d’Arte Concert, de diverses animations (Hell’s Food, Hell’s Drink) proposant des conseils culinaires et des recettes de cocktail, d’une masterclass « spéciale Loudblast » ainsi que d’un documentaire (Kingdom of Muscadet). En outre, une carte interactive du site du festival permettra de visiter virtuellement les décors et autres zones « stratégiques » de l’événement tout en restant bien confortablement installé dans son salon.
Du côté des Mainstages, neuf groupes français et internationaux prendront d’assaut la scène pour des concerts uniques diffusés par Arte Concert : Jinjer, Ensiferum, Crisix, Tagada Jones, No One Is Innocent, Laura Cox, Black Bomb A, Frustration et Shaârghot. En parallèle, les quatre autres scènes du festival (Warzone, Temple, Altar et Valley) seront investies par une douzaine de groupes nationaux pour des micro cessions live d’une quinzaine de minutes : 7 Weeks, Celeste, Dirty Fonzy, Hangman’s Chair, Hexecutor, Horskh, HrafnGrimr, Karras, Loudblast, Pogo Car Crash Control, The Great Old Ones et Worst Doubt. Dès le 17 juin, rendez-vous vous est donc donné sur le site du Hellfest pour ne rien manquer de ce festival virtuel entièrement gratuit.
Pascal Druel
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière, amoureux d’images et photographe au quotidien, j’explore depuis plus de 30 ans la photographie sous diverses formes (prise de vue, développement et tirage argentique, contrôle qualité, repique, traitement et retouche numérique, graphiste, prise de vue, formateur, photographe indépendant). En outre, je collabore occasionnellement avec Chasseur d’Images (magazine pour lequel j’ai été rédacteur pendant une douzaine d’années), signe des ouvrages (publiés aux Editions Eyrolles), réalise de multiples prestations photographiques (books, reportages, mariages) et couvre en images de nombreux festivals et concerts (150 à 200 scènes par an).