Nikon agrandit sa gamme d’objectifs Z, dédiée aux hybrides de la marque, via son nouveau super-téléobjectif Z 800 mm f/6,3 VR S, le plus léger et le plus compact de sa catégorie. Cerise sur le gateau : proposé à 7 299 euros, il est nettement plus abordable que ses prédécesseurs.
Le nouveau Z 800 mm f/6,3 VR S vient combler un vide dans la gamme d’optiques Z en matière de très longues focales. Doté d’une lentille de Fresnel, il fait preuve d’une excellente compacité (385 mm de long) tout en étant léger (2 385 g) pour un objectif de cette catégorie. Stabilisé (gain annoncé de 5 IL, et de 5,5 IL couplé à un Nikon Z9), il est donc parfaitement utilisable à main levée. Sa construction tropicalisée et son ergonomie sont similaires à celles du Nikkor Z 400 mm f/2,8 TC VR S.
Nikon précise que cet objectif, équipé d’une motorisation autofocus STM, précise et silencieuse, convient aussi bien à la photographie qu’à la vidéo. En outre, il est compatible avec les téléconvertisseurs Z TC 1,4x et 2x (qui le transforment alors respectivement en un téléobjectif de 1120 et 1600 mm). Il est également doté d’un tiroir porte-filtre et reçoit un bouchon avant d’objectif de type « capuchon souple ».
Autres spécificités :
– monture : Nikon Z
– couverture : FX (24 x 36)
– formule optique : 22 lentilles (dont 3 en verre ED, 1 lentille SR, 1 lentille de Fresnel) réunies en 14 groupes, traitement nanocristal
– distance minimale de mise au point : 5 m
– diaphragme : 9 lamelles (circulaire)
– dimensions (D x L) : 140 x 385 mm
– poids : 2 385 g
– accessoires fournis : paresoleil HB-104, capuchon avant souple, bouchon arrière, collier de trépied, courroie et étui de transport.
– prix : 7 299 euros.
Pascal Druel
Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière, amoureux d’images et photographe au quotidien, j’explore depuis plus de 30 ans la photographie sous diverses formes (prise de vue, développement et tirage argentique, contrôle qualité, repique, traitement et retouche numérique, graphiste, prise de vue, formateur, photographe indépendant). En outre, je collabore occasionnellement avec Chasseur d’Images (magazine pour lequel j’ai été rédacteur pendant une douzaine d’années), signe des ouvrages (publiés aux Editions Eyrolles), réalise de multiples prestations photographiques (books, reportages, mariages) et couvre en images de nombreux festivals et concerts (150 à 200 scènes par an).